Et c’est ainsi que je me lance dans le podcasting ! Je n’y connaissais rien il y peu, aujourd’hui je m’y connais peu, mais c’est mieux que rien. Pourquoi un podcast ? Eh bien j’ai découvert plusieurs podcasts aux US qui traitaient d’impro, souvent sous la forme d’entretiens avec des improvisateurs, et apparemment ça n’existait pas en France, donc voilà !
Malheureusement l’enregistrement présente régulièrement de petits problèmes de bruit (peut-être un portable posé à côté de l’enregistreur ?). J’ai fais ce que j’ai pu pour les réduire, mais ce n’est pas idéal… Disons que ce sera mieux la prochaine fois ! En tout cas la musique d’intro ne changera pas, je l’adore pour des raisons que j’ignore. N’insistez pas !
Je vise une fréquence au moins mensuelle, mais on verra bien comment ça évolue.
Ici j’ai surtout laissé Philippe parler, parce que c’est un bavard, mais peut-être que dans de prochains épisodes l’aspect discussion (voire même débat ? Qui sait…) sera plus accentué.
D’ailleurs si vous avez des idées ou des envies de personnes à inviter voire même de questions à poser, n’hésitez pas à me contacter ou à laisser un commentaire !
Vous devriez pouvoir vous abonner avec cette URL et l’outil de votre choix : http://feeds.feedburner.com/improetc/podcast
Lien direct du fichier MP3
Très agréable cet entretien.
Hâte d’entendre d’autre entretien.
J'aimeJ'aime
Excellent ce nouveau format ! j’attends le prochain épisode avec impatience 😉
J'aimeJ'aime
Merci d’avoir pris le temps d’écouter et de commenter ! Le prochain épisode arrivera quand… euh… quand il sera enregistré… J’espère avant la fin du moi !
J'aimeJ'aime
C’est bien sympathique cet entretien ! Trop cool d’entendre Philippe. Sur les improvisatrices, il y a deux choses qui sont dites : les improvisatrices « qui marchent » auraient davantage une énergie « yang-punch » mais en même temps, les improvisatrices construiraient plus, apporteraient un « truc » différent.
Je pense qu’il y a en fait plein de type d’improvisatrices comme d’improvisateurs, l’important est que tous les types parviennent à s’affirmer quel que soit leur sexe – sans y être réduit lorsqu’il s’agit du vagin – ce qui arrive parfois, plus à cause de l’ambiance sexiste qui peut régner dans certains groupes majoritairement masculins qu’à cause de la pratique de l’impro en elle-même.
J'aimeJ'aime
merci pour cette belle initiative. En espérant qu’elle donne envie aux non initiés de découvrir cette pratique qui permet, entre autre, de jouer pour l’autre.
J'aimeJ'aime